4 janvier 2024. Devant un parterre d’invités, le groupe EBOMAF sous le claquement des flashs, lance officiellement les activités de La Clinique Princesse Sarah, à Ouaga 2000. La cérémonie déjà bien solennelle est rehaussée par la présence du ministre en charge de la Santé, Dr Robert Kargougou et le PDG du groupe EBOMAF Mahamadou Bonkoungou lui-même. « Cette clinique va permettre de réduire les évacuations sanitaires en dehors de notre pays. », déclare le ministre en charge de la santé. Mais engluée dans un feuilleton judiciaire palpitant, la Clinique vient de recevoir une mauvaise nouvelle. Une très mauvaise nouvelle qui pourrait remettre en cause son existence. Mais cette décision judiciaire est aussi une victoire pour un autre Burkinabè décidé à se battre jusqu’au bout contre des mastodontes économiques depuis plusieurs années.
Nouveau rebondissement ! La clinique est née dans un tourbillon judiciaire qui ne semble pas avoir soulevé son dernier nuage de poussière....
Contenu réservé aux abonnés
Pour lire la suite de cet article, vous devez être abonné.
S'abonner maintenantSi vous êtes déjà abonné, veuillez vous connecter pour visualiser nos articles premium.
Se connecter