Le secteur minier burkinabè fait face à un défi de taille : la faiblesse dans la maîtrise des données géophysiques et financières. Selon un récent audit de performance couvrant la période 2017 à 2022, cette lacune compromet non seulement la bonne gouvernance, mais aussi la juste répartition des revenus issus de l’exploitation des ressources naturelles.
Au Burkina, deux institutions essentielles ont en charge la collecte et l’analyse des données géo-scientifiques : la Direction générale des mines et de la géologie (DGMG) et le Bureau des mines et de la géologie du Burkina (BUMIGEB). Selon le rapport d’audit de performance du cadre...
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