L’information émane de la diplomatie burkinabè. Le ministère en charge des affaires étrangères informe, en effet, les missions diplomatiques, les postes consulaires, les organisations internationales et interafricaines que le Burkina se réserve désormais « le droit de scanner, voire d’ouvrir tout colis arrivant de l’extérieur quelle que soit sa porte d’entrée du pays ». Selon le ministère, cette démarche de « ratissage dans le contexte particulier que traverse le pays permettra d’apporter une réponse adéquate à la lutte contre le terrorisme et de déjouer la perfidie en cours ».
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