Dans une déclaration, le président de la Transition se réjouit de la nouvelle : « Aujourd’hui, nos Forces armées de sécurité se sont emparés de Kidal ». Et il ajoute: « Notre mission n’est pas terminée. Je rappelle qu’elle consiste à recouvrer et sécuriser l’intégralité du territoire, sans exclusive aucune, conformément aux résolutions de Conseil de sécurité ». Il rend hommage aux victimes civiles et militaires tombées au champ d’honneur. « Dans ces circonstances, la cohésion nationale est une bénédiction supplémentaire pour nos FAMAS (armée malienne) », a conclu le Président de la Transition.
Depuis 2012, la ville de Kidal est considérée comme un goulot d’étranglement pour les différents gouvernements qui se sont succédé. Cette reprise annoncée est donc emblématique et symbolique. La ville échappait au contrôle de l’Etat depuis au 2013, malgré la présence des forces étrangères
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